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Fin de la guerre sur l'île de Batz. Alors que l'Occupant se retire, les résistants du dernier jour font leur loi. La tension s'exacerbe entre les îliens, culminant en une série de meurtres résolus seulement trente ans plus tard...
Diablement romanesque, d'une construction proprement cinématographique, ce premier roman témoigne d'une réelle maîtrise tant dans son scénario implacable que dans la peinture de ses caractères et de ses personnages ancrés dans un univers mi-rural, mi-maritime.
Suspens, secret, vengeance, séduction, chute finale : tous les ingrédients d'une enquête haletante sont réunis en ce lieu coupé du continent. L'étroitesse du milieu insulaire est propice à bien des jalousies quand son frêle équilibre social est menacé.
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Un accident de la route, même mortel, c'est banal. Mais voilà, celui-là paraît louche à Gwendall Brañig, journaliste à « L'Écho des Montagnes Noires ». Il suit la piste, mais c'est une piste dangereuse, très dangereuse, il va en faire l'expérience. Et si, en fin de compte, la clef se trouvait au coeur de cette vieille centrale has been plus ou moins démantelée, tapie aux Portes de l'Enfer à Brennilis ? Et si elle n'était pas toute seule concernée ? Beaucoup de monde va s'agiter dans cette histoire... Et pas que du beau monde.
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Contraints de quitter le Congo où leur vie est en danger, Jeff et Marjolaine choisissent de s'établir à Belle-îleen- Mer afin que cette dernière reprenne la patientèle de son père. Le couple débarque en compagnie de Lina, une jeune guenon introduite clandestinement. Jeff intègre le cabinet de vétérinaires de l'île. Rapidement, le retour au pays provoque la résurgence de drames anciens. Après la naissance de leur fils Joseph, l'hostilité qui s'installe à l'encontre de la famille transforme la terre promise en un véritable enfer. Dans ce roman noir, Daniel CARIO nous emporte au fil d'une intrigue trépidante où se heurtent avec violence une collection de personnages aux fêlures et aux haines somme toute bien humaines.
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Journaliste atypique et inclassable, Mériadec L'Hostis enquête sur de surprenants attentats qui frappent Nantes.
Ils sont attribués à des groupuscules homosexuels radicaux, mais comme souvent la vérité est ailleurs. Pour tenter d'y voir clair, le journaliste se lance dans une enquête hors norme, aux rebondissements multiples où les découvertes inattendues s'enchaînent sans répits.
Un roman sombre et haletant qui nous fait découvrir la géographie d'une ville aux contours inattendus.
Ce premier roman avait remporté le prix du Pouliguen en 2002. Très vite épuisé, le voici à nouveau édité.
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Un navire fantôme accosté quai de la Fosse, des groupuscules et des personnages troubles qui s'agitent dans l'ombre, sa compagne Elisabeth qui a disparu... Nantes n'a jamais paru si inquiétante à Mériadec L'Hostis, journaliste atypique. Alors que les ombres du passé ressurgissent, le héros de Rue du Port au Vin tente de démêler des intrigues qui le mèneront jusqu'aux sous-sols et aux plus profonds secrets de la cité des Ducs de Bretagne.
Un thriller haletant et inquiétant.
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Ancien dirigeant de grandes entreprises publiques et Trégorrois d'origine, Loïk Le Floch-Prigent a commencé à écrire ce roman policier alors qu'il était incarcéré à Fresnes. L'intrigue se situe à Trébeurden, en mars 1961. Sympathique crêpière et forte personnalité, Ernestine, découvre le cadavre de son ami d'enfance, André, sur la corniche du port. Elle va mener l'enquête pour tirer au clair cette sombre histoire. Un texte alerte, écrit dans une langue savoureuse et truffée de bretonnismes. Du goût on aura, à lire ce livre-là !
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Amnésique après un accident, Élie mène depuis plus de vingt ans, un travail quotidien de mémoire.
Il a aussi reçu une mission : partir sur les traces d'un jeune violoniste dont Louise de Penarland, la châtelaine qui l'a recueilli, possède le portrait.
De révélation en révélation, Élie remonte le cours du temps et celui d'un fleuve.
Et nous suivons son enquête à travers ses carnets, dans un tourbillon d'univers où se croisent le goût de l'Égypte, la chasse aux éclairs, la course automobile, le tout sur de vieux airs de Lucienne Delyle.
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Ce qu'elle voit n'est pas concevable. Ou plus exactement, ne l'est plus. Cette colonne d'esclaves, ces hommes habillés en romains, cette arène dans laquelle elle est jetée au milieu des hurlements d'une foule en délire...
De fait, quand surgissent cette horde de gladiateur assoiffés de sang, quand s'abat sur son cou la lourde épée, elle se réveille.
Ce n'est donc qu'un cauchemar ?
Mais pourquoi trouve-t-elle alors par terre, en sortant de son lit, ces vêtements gallo-romains ? Pourquoi au même moment, le commissaire Russel découvre-t-il, près de Nantes, sur l'ancien site gallo-romain de Ratiatum, une quizaine de cadavres habillés en tenue gauloise ?
Réalité, hallucination, manipulation, schizophrénie, serial killer ?
Pour Kate en tout cas, le vrai cauchemar commence.
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De nos jours, dans les monts d'Arrée noyés de brume, en Bretagne finistérienne, des disparitions défraient la chronique. Rapts, meurtres ? Et lorsqu'une vieille dame un peu folle en appelle aux malédictions venues du fond des âges druidiques, chacun prend peur. Serait-ce le retour du «Dragon de l'Elorn», ce monstre de légende, dont les traces ont été retrouvées dans les bois ? Le docteur Leguern, généraliste du canton, et sa (trop) belle femme Tryfin, se retrouvent au coeur d'un imbroglio familial et affairiste, dont policiers et gendarmes, ainsi qu'un jeune juge perspicace auront bien du mal à démêler l'écheveau.
L'intrigue est complexe à souhait, le contexte des villages perdus de l'Arrée bien rendu, l'écriture est tendue et toujours «cinématographique» : un vrai suspense maîtrisé, et un dénouement inattendu. Bref, tous les ingrédients sont réunis pour un bon polar à ne pas fermer l'oeil de la nuit.
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D'une jeune fille dans les viviers abandonnés de l'Aber Wrac'h. Dans un premier temps, les regards se tournent vers les « délinguants », un curieux néologisme désignant les jeunes en difficulté, parfois anciens délinquants, quelque peu déglingués, venus se réinsérer sur les bateaux du père Jaouen. Mais Mimi ne croit guère à cette piste et décide de mener sa propre enquête.