Filtrer
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Support
Éditeurs
Langues
Prix
Chloe Des Lys
-
Ce livre a été composé pour toi, lecteur.
Tu y découvriras de quoi aimer la vie.
Tu y trouveras de quoi t'évader par la pensée.
Esprit, amour et fantaisie.
Beauté, malice et (parfois) cruauté.
Le poème : une " ligne mélodique ".
-
RETOUR AUX MUSES ! est une immersion poétique aux sources de l'inspiration, à l'essence même de ce qui pousse chacun à écrire.
L'auteur nous y conte ses muses, aux formes les plus diverses, sous les traits de femmes tour à tour divinatrices, sujets de fantasmes, amantes et faiblesses. Qu'elles soient mutines, coquines ou étouffantes, elles n'en restent pas moins indispensables...
-
Dans ce recueil de poésies, à fleur de peau, l'auteur joue avec la sonorité des mots, leur secours, et cherche à partager son regard sur le monde qui l'entoure. Des textes écorchés aux chutes percutantes.
-
-
-
-
-
-
Ne suis-je donc qu'attente ? dans le silence du cri
Nathalie d. Druant
- Chloe Des Lys
- 2 Décembre 2005
- 9782874591136
-
-
L'homme à tête de taureau et autres poèmes
Christian Nerdal
- Chloe Des Lys
- 17 Décembre 2015
- 9782874598807
Ce recueil est un « best of » de poèmes parus dans la revue AURA du Cercle littéraire hainuyer Clair de Luth et/ou présentés en public par des amis acteurs amateurs et ayant recueilli de nombreux suffrages. Il s'articule autour de trois thèmes principaux : humour, amour et mort, avec, en toile de fond, l'obsession du temps qui passe.
-
Lèse-intérieurs réunit un ensemble de poèmes qui sont autant de petites pierres serties sur le chemin de l'évolution spirituelle. Pierres douces comme galet dans la paume roulé, pierres dures comme cristal qui tranche le coeur.
L'être est déchiré entre l'âme qui aspire à s'élever dans l'éther et le corps qui prend racine dans l'écorce terrestre. Dans le doute, la progression est lentes, mais semée d'étoiles qui mènent vers la lumière.
Le souvenir d'univers perdus, archivés en mémoire, guide les pas hésitants et parfois rétifs dans la confrontation aux grands mystères de l'univers. Les yeux se dessillent peu à peu, les mots résonnent pour mieux se fondre en la musique des sphères.
Et c'est dans le creuset d'un sentiment universel que prend forme la quête finale.
-
Le livre que je vous présente ici traite de l'épigramme ou « épi-grammes », c'est-à-dire quelques grammes de poésies à forme stricte. C'est une poésie « en corset », présentée généralement sous forme de quatrains soumis à de nombreuses contraintes de versification et autres. Ce livre comprend deux parties bien différentes :
Le premier volet est fait d'épigrammes originales, illustrées par l'autrice, groupées dans vingt-et-un thèmes traitant de la vie quotidienne, dont entre autres : politique, religion, vieillesse, épitaphes, mariage et amour, enfants, écrivains et écrits, sur la bêtise, sur les voleurs, internet, la chimie de la vie (...).
Le deuxième volet - la Postface - offre au lecteur un bref regard sur l'histoire de l'épigramme, dès son apparition en Grèce antique et jusqu'aux temps modernes, quand on observe une tendance à disparaître comme genre littéraire, surtout en France et en Belgique. Car, même si aujourd'hui, hélas, ce genre littéraire est tombé en désuétude, il ne faut pas oublier que toute forme de poésie, aussi moderne soit-elle, dérive de l'épigramme. Étant la plus ancienne forme de poésie, l'épigramme est son arrière-arrière-arrière-grand-mère, ou en termes mythologiques, c'est la déesse Gaïa de l'art poétique. Et il ne faut jamais oublier ses racines.
-
« Il n'y aura pas de fumée blanche » est le dixième livre d'Emilie Decamp. Il se veut un livre cathartique et les différents poèmes qu'il renferme vous feront voyager dans le passé, parfois encore trop présent, de l'auteure.
-
Ce recueil de poèmes propose un voyage pour capturer l'éphémère vivant et le découvrir un instant pour le célébrer dans ses réjouissances, ses saccades, sa crudité et ses tensions ! Cette poésie du quotidien revisite des thèmes universels avec singularité et mélodie : la quête identitaire, les liens relationnels, la vie, l'amour, la mort, le mensonge, les illusions, le corps, la fête... l'auteur les cisèle avec fantaisie dans une composition de tableaux personnels parfois impertinents, distillant ses étonnements sur cette drôle de société humaine.
Une promenade en 5 étapes :
- A fleur de mots.
- Fenêtre sur le cours de la vie et des choses.
- Réminiscences de l'Empire du Milieu.
- In Extremis.
- Rêveries à ciel ouvert.
Une invitation à se ressaisir du présent et des instantanés de la vie car à coup sûr les nuages filent !
-
Printemps 2020, un crayon sort du sol et prend la route.
Les poèmes gambadent sur le blanc des pages, élancés, en liberté, au gré des saisons, au fil des excursions.
-
Extrait : Dans le théâtre de l'ombre, dansent les princes de la nuit à la recherche de la chose la plus légère qui soit.
-
-
Ma mémoire est une baigneuse qu'une invincible Némésis tire sous les flots de l'encre. Dans les couloirs de la noyade, s'entrechoquent mes virginités mortes et se mêlent à ce charnier aquatique les épaves de misérables chimères.
-
-
Quai des Salines, sans courant.
Je dérive cependant.
J'assassine mes lignes de vie.
Et les réduis comme moi au néant.
Quai des Salines, je jette un regard.
Vers l'autre rive.
Là où les signes s'allument et s'alignent.
Tandis que saignent mes lignes..
Quai des Salines, j'avance à reculons...
Quai des Salines, j'attends.
Le rouge de l'aube.
Qui colorera l'Escau.t Et ses rives de sang.
Quai des Salines, Là où tu ne viendras pas.
Là où tu as érigé entre nous.
Ces fantômes de barricades.
-
L'Hiérophante emmène le lecteur dans un voyage initiatique à la frontière de la vie et de la mort, là où les opposés se confondent. L'ouvrage s'inscrit dans un temps long et court à la fois, parce que défini sans être définissable ; éternel passé, présent et futur. L'immédiateté de la douleur y règne, omniprésente, se nourrissant de l'irréparabilité des actes et des instants. Durée, douleur, sang, regrets, spectres, obsessions : mélodie de l'infinie souffrance qu'est l'existence. Malgré tout, partout il y a la vie, l'amour, l'ouvrage mille fois remis sur le métier et l'espoir de s'élever vers le sublime, de s'arracher un instant à la boue. La poésie de Livia Ov. est crépusculaire, orageuse et traversée d'éclairs de génie.
-
La douceur et la violence, La peur et l'ivresse des hauteurs , Le goûts du sucre et celui des larmes, La difficulté de vivre et l'ardeur d'aimer, Palpitent derrière mes silences.
-