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revue alibis
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Un numéro éclectique sous le signe de l'angoisse, de l'étrange, mais aussi de la magouille. Le numéro débute avec Ariane Gélinas, qui offre une nouvelle joliment sanglante, véritable hommage au giallo italien. Catherine Astolfo, l'invitée canadienne-anglaise du numéro, suit avec « Ce qu'a fait Kelly », un texte tout aussi prenant. Vient ensuite une surprenante vignette de Luc Baranger qui, de son style inimitable, relate un fait vécu, et « Comme on se retrouve », de Geneviève Blouin, qui renoue avec Marie, l'agente du SCRS qui avait bouleversé les lecteurs dans la nouvelle gagnante du prix Alibis 2011. Et c'est Maxime Houde qui ferme le volet fiction avec « Le Ring des magouilles », un titre qui respecte la thématique d'une certaine Commission ! Du côté des articles, André Jacques fait un tour de L'Année 2012 du polar québécois, et Pascale Raud s'entretient avec l'auteur français David S. Khara.
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Fictions:
-Le Couteau à cran d'arrêt, Yasuko Thanh.
- L'Injonction, Hugues Morin.
-Parce que, Paulina, Camille Bouchard.
Articles et entrevues:
-Quatre écrivains à « Parthenais », Jean-Jacques Pelletier et Richard Ste-Marie.
- Conversation avec Jacques Savoie, Pascale Raud.
Chroniques:
-Présentation: La rentrée peut attendre.
-Camera Oscura, Christian Sauvé.
-Le Crime en vitrine, Norbert Spehner.
-Dans la mire: André Jacques, Martine Latulippe, Morgane Marvier, Simon Roy, Norbert Spehner.
Illustrations:
-Bernard Duchesne (C), Suzanne Morel.
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LES FICTIONS :
« Éducation à la napolitaine », de Jean Charbonneau ; « Et tout s'éteint », de François Leblanc ; « Pourquoi se battent les chiens », de Camille Bouchard.
LES ARTICLES :
« Le Cas Richard III », de Norbert Spehner ; « Conversation avec Maxime Houde », de Pascale Raud.
LES CHRONIQUES :
« Camera oscura » ; « Le crime en vitrine » ; « Dans la mire ».
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En plus d'un solide contenu de nouvelles inédites, Alibis présente des entrevues originales avec des auteurs du Québec et d'ailleurs, mais aussi avec des acteurs de la scène du crime : enquêteurs, médecins légistes, spécialistes en sécurité, etc. Des articles spécialisés viendront compléter le volet des dossiers et des recensions critiques des nouveaux arrivages en librairies guideront les amateurs vers les incontournables du genre.
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Fictions :
Précoce Vocation, Paul Scadera.
Jeu de patience, Isabelle Lauzon.
God, gold & guns, André Jacques.
Double Jeu, Mathieu Croisetière.
L'Étrangleur aux mains d'acier, Maxime Houde.
Articles et entrevues :
L'Année 2013 du polar québécois, André Jacques.
Conversation avec Jacques Côté, Pascale Raud.
Chroniques :
Présentation: Le meilleur des deux mondes.
Camera Oscura, Christian Sauvé.
Le Crime en vitrine, Norbert Spehner.
Dans la mire: Valérie Bédard, André Jacques, Martine Latulippe, Morgane .Marvier, Pascale Raud, Simon Roy, Norbert Spehner.
Illustrations :
Nathalie Giguère (C), Bernard Duchesne, Suzanne Morel .
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Au sommaire des fictions, le texte gagnant du Prix Alibis 2014, « Panne », de Mathieu Croisetière : quand une panne d'essence au fin fond de la campagne québécoise vire au cauchemar. votre pire cauchemar. Suit une fiction du très connu Rick Mofina, « Des cercles rouge sang », qui nous offre une plongée dans le quotidien banal d'un flic de patrouille, jusqu'au moment où tout dérape. « Bridgestone 301.0 », de Raphaëlle B. Adam, raconte la lente descente d'une femme dans le crime. L'histoire du petit garçon de « Maman fait dodo », de Katy Boyer-Gaboriault, vous serrera le coeur. Et les personnages de « Sale argent sale », de Camille Bouchard continue avec brio le cycle de nouvelles mexicaines de l'auteur : corruption, misère et violence, sans fard, sous le soleil brûlant. Du côté essais, le très fourni volet critique, le tout aussi complet volet cinéma, mais aussi un « Café littéraire avec François Lévesque », un auteur dont la marque de fabrique est le suspense psychologique, et la couleur le noir. Également une table-ronde sur le polar au féminin, avec les auteures Sylvie-Catherine de Vailly, Maureen Martineau, Florence Meney, Maryse Rouy, Johanne Seymour et la reine du polar québécois Chrystine Brouillet. Un numéro qui vous donnera quelques sueurs froides, même en plein été !
Alibis, dont le premier numéro a été lancé en novembre 2001, est la première et la seule revue québécoise professionnelle entièrement consacrée à la littérature policière, au mystère, au noir et au thriller. La revue est trimestrielle et essentiellement axée sur des contenus québécois originaux pour ce qui est des fictions. Les articles y sont spécialisés, et variés : on y trouve autant des entrevues originales d'auteurs (québécois et étrangers), des articles sur les divers corps de métiers au sein de la police (profileurs, artistes judiciaires, enquêteurs spécialisés), des essais sur l'histoire du roman policier (au Québec et ailleurs), et des essais sur les liens étroits entre la fiction et la réalité. Ces articles sont représentatifs d'un genre littéraire populaire et moderne, qui ne cesse d'attirer de nouveaux lecteurs.
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LES FICTIONS :
« Entre le Premier et le Deuxième Point », de Natasha Beaulieu ; « Paranoïa pour les nuls », de Chloé Barbe ; « Elles sont devenues des ombres », de Twist Phelan.
LES ARTICLES :
« Hard-Boiled Canada : les polars de David Montrose », de Norbert Spehner ; « Conversation avec Jussi Adler-Olsen », de Christine Fortier.
LES CHRONIQUES :
« Camera oscura » ; « Le crime en vitrine » ; « Dans la mire ».
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Au menu de la revue :
LES FICTIONS : Prix ALIBIS 2015 :
« L'Écho du Terroir », de Camille Bouchard ;
« Un désir secret pour la pluie », de Claude Lallumière ;
« Quand débordent les fosses », de Sylvain Boïdo ;
« Dégradations », de Frédéric Laflamme ;
« Dernier Round », de Maxime Houde.
LES ARTICLES :
« Les Printemps Meurtriers de Knowlton 2015 », de Morgane Marvier ; « Conversation avec Maxime Chattam », de Christine Fortier.
La revue est trimestrielle et essentiellement axée sur des contenus québécois originaux pour ce qui est des fictions. Les articles y sont spécialisés, et variés : on y trouve autant des entrevues originales d'auteurs (québécois et étrangers), des articles sur les divers corps de métiers au sein de la police (profileurs, artistes judiciaires, enquêteurs spécialisés), des essais sur l'histoire du roman policier (au Québec et ailleurs), et des essais sur les liens étroits entre la fiction et la réalité. Ces articles sont représentatifs d'un genre littéraire populaire et moderne, qui ne cesse d'attirer de nouveaux lecteurs.
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REVUE ALIBIS n.56 : spécial liberté d'expression
Revue Alibis
- Alire
- Revue Alibis
- 17 Mars 2016
- 9782924626009
Voici une question fondamentale qui a inspiré ce numéro spécial sur le thème de la liberté d'expression. Poser cette question vise à fouetter les consciences et lancer des pistes de réflexion sur un sujet qui nous préoccupe tous. La première nouvelle, « Ravaler ses mots » de Jean-Jacques Pelletier, débute en force la section des fictions. Il y est question d'un journaliste qui meurt littéralement étouffé par sa prose. De son côté, Martine Latulippe aborde la thématique d'une façon plus intimiste avec « Le Prix du désir », dans laquelle une femme reçoit une vidéo très compromettante qui minera sa liberté d'action et de parole. Avec « Au pays du Dirigeant Bien-Aimé », Geneviève Blouin nous glisse dans la peau d'un écrivain vivant au sein d'un pays totalitaire. Quant à Richard Ste-Marie, il ramène Hämmerli, son tueur à gages fétiche, dans la nouvelle « Le Monde selon Hämmerli », une histoire où la corruption règne sans partage. Pour clore le volet des fictions, Hugues Morin propose la nouvelle la plus dérangeante du sommaire : « Liberté d'oppression ». Il faut la lire pour sentir le malaise qu'elle souhaite susciter. Jean-Jacques Pelletier signe un deuxième texte, « Plus insidieux que la répression », un essai dans lequel il brosse un portrait rigoureux des enjeux de la liberté d'expression en ce début du XXIe siècle. « La Censure », essai de Richard Ste-Marie, fait quant à lui réfléchir sur les liens qui existent entre cette dernière et la bienséance, la culture, la morale ou la tradition. Pascale Raud propose une entrevue exclusive avec Émile Martel, président du P.E.N. Québec. Vous y apprendrez tout ce qu'il faut savoir sur cette organisation vouée à la défense des écrivains à travers le monde. Après le volet des critiques qui clôt ce numéro, vous repenserez à cette question en apparence toute simple : la liberté d'expression existe-t-elle vraiment ?
Alibis, dont le premier numéro a été lancé en novembre 2001, est la première et la seule revue québécoise professionnelle entièrement consacrée à la littérature policière, au mystère, au noir et au thriller.
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La raison, la folie... Le bien, le mal... la limite est plus mince qu'on voudrait le croire. C'est dans cette troublante ambiguïté que s'enlisent les personnages des fictions de ce numéro. Tout d'abord, dans « Marie-Marthe » de Maureen Martineau, nous découvrons l'horrible secret d'une femme en apparence inoffensive. La deuxième nouvelle, « Mon cher Rémi » de Luc Dagenais, présente une correspondance bien particulière d'une mère avec son fils... L'invitée française du numéro, Estelle Valls de Gomis, fait mentir son titre « La Vie très banale de Meredith Poissard », comme quoi même une routine tranquille peut cacher un geste bouleversant. Quant à lui, François-Bernard Tremblay dépeint le sombre destin d'« Azad », une femme sous le joug d'un proxénète. Dans « La Mort de Capitaine Amérique », Geneviève Blouin invite le lecteur à monter sur le ring pour un affrontement dont personne ne sortira indemne. En lisant « Jusqu'à ce que la mort nous sépare », du Canadien anglais Rick Mofina, vous devenez l'auditeur d'un interrogatoire de plus en plus inquiétant. Enfin, « L'Horreur ! disait Kurtz » de Camille Bouchard commence avec un meurtre en direct à la télévision de Radio-Canada... avant de nous entraîner dans une descente aux enfers au Congo... oubliez les safaris, là-bas, c'est la folie qui vous attend !
Du côté des articles, la plus terrifiante des légendes québécoises est exposée sous un éclairage nouveau dans « La Corriveau frappe encore : sept questions à l'historienne Catherine Ferland » de Martine Latulippe. Aussi, Pascale Raud a mené une entrevue exclusive avec la grande dame du polar québécois, Chrystine Brouillet.
De nombreuses critiques de romans viennent clore ce cinquante-huitième numéro qui vous marquera au fer rouge... ou plutôt au fer noir !
Première et la seule revue québécoise professionnelle entièrement consacrée à la littérature policière, au mystère, au noir et au thriller.
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Le numéro cinquante-neuf de la revue Alibis présente des nouvelles de provenances aussi variées que leur contenu. Le voyage commence au Québec avec « Le Cri des fillettes mortes » de Pierre-Luc Lafrance, texte récipiendaire du Prix Alibis 2016. Comment la chanson Hey Jude des Beatles peut réveiller de sombres souvenirs ? Vous le découvrirez en lisant... et alors, vous aussi entendrez ces terribles cris d'outre-tombe ! La deuxième nouvelle, « Barre bien la porte, mon ange » a voyagé entre plusieurs mains et dans la tête de nombreux auteurs puisqu'il s'agit d'un collectif (Louise Archer, Carmen Belzile, Carole Blanchette, Karine Dupont, Marie Gagné, Jocelyne Pelletier et Marie-Hélène Tremblay) dirigé par Benoît Bouthillette lors des Printemps Meurtriers 2016 de Knowlton. Deux nouvelles nous proviennent du Canada Anglais. La première, « Un seul petit instant » de Rick Mofina, raconte une fin de semaine au chalet d'un homme meurtri par le passé qui tentera tout pour défendre sa famille. Margaret Atwood nous offre la seconde, au titre énigmatique « Matelas de pierre », dans laquelle une croisière tourne au cauchemar. Cette nouvelle a remporté le Prix Arthur-Ellis en 2015. L'invité français du numéro, Yves-Daniel Crouzet, nous invite dans « Ils sont arrivés dans le soleil » pour des vacances à la plage qui ne seront pas de tout repos.
Du côté des articles, Morgane Marvier nous fait vivre la cinquième édition des Printemps Meurtriers de Knowlton comme si nous y étions, photos à l'appui. Aussi, Pascale Raud partage avec les lecteurs son entrevue exclusive avec Richard Ste-Marie, auteur de polars maintes fois encensés par la critique.
De nombreuses critiques de romans viennent clore ce cinquante-neuvième numéro qui vous fera voyager, sourire aux lèvres et la main sur votre arme de poing, juste au cas où...
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Les fictions :
« Fragile comme des empreintes dans la neige », de Richard Ste-Marie.
« Le Faux-cils », de Johanne Seymour.
« La Ruée vers l'or », d'André Jacques.
« La Tête de violon », de Jean Lemieux.
« La Burqa de fer », de Jean-Jacques Pelletier.
L'article : « Conversation avec Norbert Spehner », de Philippe Turgeon.
Avec « Fragile comme des empreintes sur la neige », Richard Ste-Marie convie le lecteur à une rencontre exclusive entre ses deux personnages fétiches : Hämmerli, le tueur à gages amateur d'opéra et Pagliaro, sergent-détective qui se démarque de tous les clichés du policier habituel.
Quant à elle, Johanne Seymour propose une enquête de Kate McDougall qui trouve un indice bien particulier... « Le Faux cils » lui donnera beaucoup de fil à retordre !
L'islam est sans nul doute l'un des sujets brûlants de l'actualité mondiale. Jean-Jacques Pelletier s'y attaque avec « La Burqa de fer ». Gonzague Théberge, enquêteur à la retraite, tombe sur un cadavre au cours de sa promenade quotidienne. Tout semble pointer vers un meurtre aux motivations racistes... sinon pourquoi le corps serait-il enfermé dans une burqa de fer ?
« La Tête de violon » de Jean Lemieux met en scène André Surprenant, sergent-enquêteur pour la Sûreté du Québec, qui doit remonter aux origines d'un violon pour comprendre les motivations d'un crime.
Finalement, nous assistons à une conversation entre le lieutenant-détective Lucien Latendresse et l'antiquaire Alexandre Jobin qui mène à la résolution d'un crime dans « La Ruée vers l'or » d'André Jacques.
Les lecteurs sont choyés : le numéro 60 d'Alibis contient une entrevue exclusive avec Norbert Spehner, spécialiste du roman policier et critique régulier dans plusieurs médias.
De nombreuses critiques de romans viennent clore ce soixantième numéro.