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Prix
Théodore Monod
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La plus belle histoire des plantes : Les racines de notre vie
Jacques Girardon, Marcel Mazoyer
- Points
- Points Document
- 24 Novembre 2023
- 9791041411788
Des millions d'années avant l'homme et l'animal, les premiers êtres vivants sur Terre étaient les plantes. Des séquoias géants aux céréales, des forêts tropicales aux potagers, les plantes ont développé des stratégies incomparables, manipulant les insectes, les animaux, et ... les humains. Un monde familier, pourtant méconnu et bien moins passif qu'il n'y paraît.
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Méharées reste le plus célèbre des livres de Théodore Monod, spécialiste incontesté du désert, qu'il parcourt depuis plus de soixante-dix ans à dos de chameau ou à pied.
Ce scientifique exemplaire n'a pas son pareil pour évoquer les paysages mauritaniens, pour raconter ses longues méharées dans les dunes, pour décrire la faune, la flore, l'histoire ou la préhistoire de ces régions où, dans les années trente, il entendit parler d'une mystérieuse et gigantesque météorite qu'il ne cesserait de chercher, durant un demi-siècle, avec une insatiable curiosité.
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Quelques hommes ont le rare privilège d'être tenus, par leurs contemporains, comme des consciences de leur époque. Théodore Monod est de ceux-là.Ce savant humaniste croit de son devoir de mettre en garde les hommes contre leurs égarements et les dangers qui menacent la planète. Depuis plus de soixante-dix ans, Théodore Monod parcourt les déserts afin de retrouver la genèse de notre planète, et permettre qu'émerge un «nouvel homme». Celui-ci sera à part entière «fils du ciel et de la terre» grâce à l'élan de la spiritualité. Théodore Monod veut préparer un homo sapiens du troisième millénaire libéré de ses inutiles scories autant que de la violence et de l'instinct abusif de possession propres à notre fin de siècle.Ce livre est, pour ce sage, l'occasion de faire le point et de revenir sur les étapes d'un parcours humain et scientifique exceptionnel.
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Le vieil homme et la petite fleur ; Théodore Monod, sa dernière grande aventure
Maximilien Dauber
- Arthaud
- Arthaud Poche
- 8 Janvier 2020
- 9782081478930
«Nous avançons peu à peu, lentement, mais dans la bonne direction, et on peut espérer dans quelques jours atteindre notre but... Et d'abord retrouver l'endroit. Retrouver la falaise et la source où se cache la plante que nous recherchons.»En 1940, Théodore Monod, au cours d'une expédition dans le Sud libyen, découvrait une plante d'un genre nouveau. Le spécimen se révélera unique. Depuis, la fleur, baptisée Monodiella flexuosa, conserve ses secrets dans l'herbier national du Museum. Jusqu'au jour où, sur les traces du Petit Prince, Théodore Monod, à l'âge de 94 ans, décide de partir à sa recherche...Cet ouvrage est l'histoire d'une aventureuse expédition, relatée en partie grâce au journal de bord de ce grand scientifique et humaniste, alors au soir de sa vie. Les conditions particulièrement éprouvantes du périple n'ôtent rien à la détermination de ce passionné du désert, heureux de chercher à saisir jusqu'au bout une part du mystère du monde.
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1923. Jeune assistant au Muséum d'histoire naturelle en mission océanographique à Port-Etienne, Théodore Monod découvre le désert : il se joint à une caravane qui doit gagner Saint-Louis et entreprend sa première méharée - environ huit cents kilomètres à travers la Mauritanie occidentale.
Composée dans l'éblouissement, cette oeuvre de jeunesse célèbre avec lyrisme le charme de la caravane, la beauté fascinante des dunes, le lent balancement des dromadaires, les gestes immémoriaux de la préparation du thé... Passionné, fervent, ce chant du désert est en même temps un document exceptionnel, écrit par un homme au carrefour de son destin.
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«Si nous voulons échapper au suicide collectif dans lequel nous sommes engagés par inconséquence, il est temps d 'opérer une mutation radicale.»Philanthrope et pacifiste, Théodore Monod, disparu en 2000, reste une des grandes consciences de notre époque. Son humanisme moderne et son militantisme pour le respect du vivant ont fait de lui un exemple et un précurseur.Animaux, biogénétique, climat, cruauté, droit de l'animal, écologie, engagement, gaspillage, nucléaire, respect de la vie, surconsommation... Ordonnées en un passionnant dictionnaire, les pensées et réflexions de Théodore Monod issues de lettres personnelles, d'écrits, d'articles oud'entretiens résonnent encore aujourd'hui d'une nécessité alarmante.
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La légende de l'Atlantide, les Pygmées, les fourmis, les mammifères aquatiques, les crocodiles sahariens, les palmiers, les vertus et usages du henné, les mécanismes de la reproduction des plantes, mais aussi le mythe de la race aryenne... parmi les multiples sujets qu'inspire à Théodore Monod sa vie quotidienne de directeur de l'Institut français d'Afrique noire, chacun est prétexte à instruire et réfléchir.
Ces textes ont pour origine une suite de chroniques pittoresques et scientifiques qu'il proposa chaque semaine aux auditeurs de Radio-Dakar en 1940 et 1941. Loin de la France occupée, dans un franc-parler qui lui valut bientôt les foudres de la censure, Théodore Monod maintenait un petit coin de liberté où affirmer et diffuser ses convictions antiracistes, pacifistes et écologiques.
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Terre et ciel ; entretiens avec Sylvain Estibal
Théodore Monod
- Actes Sud
- Babel
- 31 Décembre 1998
- 9782742720705
Marqué dès son plus jeune âge par une double vocation, Théodore Monod renonça, à vingt ans, à se faire pasteur, pour devenir scientifique. Il ne reniait rien, cependant, de ses engagements profonds, ni ne perdait de vue l'injonction de Teilhard de Chardin : "Aller au Ciel à travers la Terre".
C'est sous l'angle des convictions, de la spiritualité, des valeurs morales et de la foi que Sylvain Estibal a mené, durant l'année 1996, une importante série d'entretiens avec Théodore Monod, cherchant à faire la synthèse d'une existence, l'interrogeant sur sa carrière et sur sa vie intérieure, sur son cheminement et sur la manière dont il regarde désormais notre temps.
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Et si l'aventure humaine devait échouer
Théodore Monod
- Le Livre De Poche
- 16 Janvier 2002
- 9782253152156
L'histoire humaine, c'est celle d'une espèce qui peu à peu prend le pas sur les autres. L'homme invente l'outil, maîtrise le feu, explore, conquiert, comprend. En quelques millénaires d'une progression fulgurante, il devient le roi de la création.
Pourtant cette histoire peut prendre fin. En déséquilibrant son rapport avec la nature, en s'engageant dans l'aventure criminelle et folle du nucléaire, l'homme démontre aussi son incapacité à dépasser en lui la pulsion de violence et de mort. Oui : aujourd'hui, nous le savons, l'aventure humaine peut échouer.
Tour à tour géologue, botaniste, archéologue, homme d'engagement et de foi, Théodore Monod aborde ici cette question dans toutes ses dimensions. Le savant éclaire les rapports profonds et complexes entre l'homme et la biosphère. Le croyant nous incite à devenir vraiment humains ; le militant de la non-violence, à nous révolter contre la folie des gouvernements, et aussi contre notre propre passivité...
Au seuil d'un nouveau millénaire, cet essai rigoureux, écrit à l'intention d'un large public, donne quelques repères essentiels. Et s'il sonne l'alarme, il nous rappelle aussi qu'il reste place pour l'espérance.
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Nouvelle édition du volume publié en 2012 sous le titre «oeuvres», vendu à 20 000 exemplaires, regroupant« Maxence au désert / Méharées / L'émeraude des Garamantes / Le fer de Dieu / Majabat al Koubra / Désert lybique / Plongées profondes».
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Dans l'Emeraude des Garamantes, qui fait suite à Méharées, Théodore Monod livre ses réflexions sur presque un siècle de vie, de souvenirs, de voyages, d'engagements. De son enfance, nourrie de tradition biblique et fascinée par le Jardin des plantes, à sa passion pour le désert et la protection de l'écosystème, son livre scelle la rencontre du savant avec le philosophe en mettant en lumière le "supplément d'âme" d'une existence placée sous le signe de la spiritualité autant que de la curiosité scientifique.
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Au Yémen avec Théodore Monod ; carnets d'expédition (1995)
José-marie Bel
- Ginkgo
- Memoire D'homme
- 25 Mars 2019
- 9782846794220
Voici une aventure singulière : l'histoire de la dernière expédition botanique de Théodore Monod, alors âgé de 93 ans, au Yémen et dans le désert d'Arabie en compagnie de José-Marie Bel, son ami et expert de cette région.
C'est en évoquant les déserts avec Théodore Monod dont le Sahara, qu'il affectionnait tant et qui est aussi celui de son enfance que José-Marie Bel s'est lié d'une l'amitié sincère avec le savant, amitié enrichie avec le temps d'une singulière complicité.
C'est également à travers leurs fréquentes discutions au sein du Muséum national d'Histoire naturelle, abordant aussi bien la philosophie, les religions et l'environnement qu'un projet de mission botanique au Yémen a germé en 1990. Théodore était fort tenté d'y retourner et accordait à José-Marie la confiance d'un véritable ami. Alors pourquoi ne pas se lancer dans une nouvelle aventure ?
Forts de leurs expériences dans des lieux reculés, ils ont préparé durant plusieurs mois cette expédition. Pourtant, tant de circonstances l'ont fait repousser, au risque même de l'annuler : leurs occupations diverses, comme la restauration de la Maison de Rimbaud à Aden dont Bel avait la charge, ou le voyage de Monod dans le Tibesti ; la guerre du Golfe ou le grave conflit yéménite de 1994... À ce sujet, l'auteur ses souviens des propos de Théodore qui venait d'avoir 92 ans : « ... en ce moment, c'est le Yémen qui ne va pas bien, moi, je vais très bien... » Heureusement, cette mission eut bien lieu l'année suivante, et quelle mission !
Longues et périlleuses marches sur des sentiers impraticables et sous un implacable soleil, escalades ardues et descentes au fond de cratères en quête de l'Euphorbia adenesis, à la sève irritante, ou du Boswellia sacra, le fameux arbre à encens : l'objectif des deux « explorateurs » étant de rassembler un herbier, le plus complet possible, à l'instar de celui rassemblé en 1977 et disparu depuis.
C'est en somme un périple de près de 3500 km qui fut mené dans ce pays : régions humides des hauts plateaux, basses plaines du Golfe d'Aden, secteurs volcaniques et désertiques, vallées du Hadramawt, et bien sûr la région d'Aden, la capitale. Certains lieux ont été privilégiés, suivant ainsi la volonté d'un vieux monsieur qui certes souffrait sur le terrain, mais dont la volonté, l'obstination même était inébranlable : vestiges des villes antiques et mythiques de Shibâm, Shabwa, Maareb, et surtout la « botanisation » sur le plus haut sommet du Yémen avec en prime - pour la première fois - la vérification de son altitude. De ce voyage (le dernier de Théodore Monod) un film fut produit, et aujourd'hui ce recueil. Rédigé par José-Marie Bel, il prend la forme d'un carnet de voyage, relatant le quotidien de l'aventure vécue par l'auteur et le vieux savant ; aventure au sens propre du terme, certes située à la fin du XXe siècle mais qui garde tout l'esprit des expéditions d'antan, celles des premiers explorateurs.
Tant d'années après cette mission et après sa disparition (en 2000), voici une humble manière de faire revivre aux admirateurs de Théodore Monod des journées de ce grand monsieur.
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Révérence a la vie ; conversations avec Jean-Philippe Tonnac
Théodore Monod
- Le Livre de Poche
- Ldp Litterature & Documents
- 16 Janvier 2002
- 9782253152149
L'âge venu, le savant s'interroge : quel est donc l'avenir du genre humain ? Que pouvonsnous espérer pour nos enfants et nos petits enfants ? Partagé entre le désir de croire et une nécessité inquiète, l'auteur passe en revue les questions du temps à venir : l'avenir de la planète, la folie des lois des hommes et leur folie guerrière, nucléaire, violente.
Infatigable explorateur du désert, auteur de travaux scientifiques qui lui ont valu une réputation internationale, Théodore Monod fut aussi, et peut-être avant tout, un homme d'engagement et de foi. Engagement contre le nucléaire tant militaire que civil, contre toute violence faite à l'homme, aux animaux, à la nature. Foi d'un chrétien qui, par-delà tous les dogmatismes d'églises, en appelle à un christianisme authentiquement évangélique.
Ce sont toutes ces dimensions d'une vie qu'il reparcourt ici, dans une libre conversation avec le journaliste Jean-Philippe de Tonnac. Le savoir, la sagesse, la révolte, l'humour s'y côtoient, nous laissant en ce début de siècle et de millénaire un message d'espérance.
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Le désert Libyque, le plus aride de tous les déserts, situé de part et d'autre de la frontière égyptolibyenne, est aussi le plus mystérieux. Ses secrets, enfouis sous les sables, captivent les scientifiques dès la fin du XIXe siècle. L'origine inconnue de fragments de verre, dispersés dans la Grande Mer de sable, la recherche de l'oasis perdue, la découverte de vastes dépôts de jarres sont autant d'énigmes qui poussent Théodore Monod à arpenter cette partie orientale du Sahara. Cet ouvrage, placé sous sa direction, décrit le paysage, la faune, la flore, le peuplement préhistorique et l'histoire de l'exploration de ce lieu magique.
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Scientifique, humaniste, ardent défenseur de la nature, il a été et est resté jusqu'à sa mort l'arpenteur des déserts et l'une des figures emblématiques de la sagesse d'aujourd'hui. Le désert représente le lieu de vie de Théodore Monod comme l'océan celui de Florence Arthaud. Il y mène des explorations durant 76 ans. Lorsqu'il débarque sur les côtes de Mauritanie en 1922, le jeune Théodore n'a que 20 ans.
Très vite, il pressent que ce désert sera sa vocation. Devenu méhariste confirmé, il participe à de grandes missions et multiplie les reconnaissances. Du Hoggar au Soudan, de l'Adrar mauritanien aux montagnes du Tibesti en passant par le Tanezrouft, il sillonne le désert en tous sens, récoltant des milliers d'échantillons, de plantes, d'insectes ou de roches, relevant d'innombrables gravures rupestres et établissant la topologie de multiples régions encore inconnues.
La vie de Théodore Monod est hors du commun, vouée à la science, à l'exploration et à la défense de la nature. Il s'agit d'une icône incontestable de notre temps.
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Une météorite géante, tombée au coeur de la Mauritanie au début du XXe siècle puis demeurée introuvable : telle est "l'affaire" sur laquelle se penche Théodore Monod, avec la complicité de Brigitte Zanda, spécialiste des météorites. Partant de la découverte de l'objet par le nommé Ripert, capitaine de la coloniale, un dossier réunissant pièces à conviction, observations inédites, documents, cartes, témoignages et analyses fait le tour d'une énigme jamais élucidée. Conciliant les mystères du voyage et les plaisirs de l'investigation scientifique, ce récit est nourri de l'insatiable passion pour le désert qui animait Théodore Monod, infatigable chercheur dont on devine qu'il avait trouvé là un merveilleux prétexte pour sans cesse parcourir son "diocèse" : le Sahara.
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L'émeraude des Garamantes ; terre et ciel ; Méharées
Théodore Monod
- Actes Sud
- Actes Noirs
- 3 Novembre 2000
- 9782742730957
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Emeraude des garamantes (l') - souvenirs d'un saharien
Théodore Monod
- Actes Sud
- 9 Avril 1992
- 9782868698254
" méharées couvrait la période 1922 à 1936 : ce second volume de souvenirs et de réflexions, après un chapitre " en amont " - enfance et jeunesse, reprendra le récit " en aval " jusqu'à la date oú ce livre, commencé en 1940 est enfin terminé.
La forme sera d'ailleurs, cette fois, un peu différente, en ceci qu'on ne se bornera plus aux seules curiosités du décor, mais que l'on acceptera de laisser transparaître parfois derrière celles-ci la respiration d'une âme convaincue que si " l'homme ne vivra pas de pain seulement ", ce ne sera pas non plus seulement de botanique ou de préhistoire, que les insatiables appétits de l'intelligence n'ont jamais assouvi ceux du coeur et que la réalité profonde ne réside pas toujours oú l'imagine la traditionnelle médiocrité des " sages ".
Un livre inclassable et sui generis, précis et terre à terre - ou sable à sable - quand il raconte et décrit, mais quittant le sol, et " décollant " quand les convictions sont en jeu. " (extrait) dans l'emeraude des garamantes, théodore monod fait réflexion sur presque un siècle de vie, de voyages, de souvenirs, d'engagements. son livre scelle la rencontre du savant avec le philosophe en mettant en lumière le " supplément d'âme " d'une existence placée sous le signe de la spiritualité autant que de la curiosité scientifique.
Commencé en 1940, achevé au tout début des années quatre vingt l'emeraude des garamantes (qui connut une première publication en 1984 aux éditions l'harmattan) bénéficie aujourd'hui d'une nouvelle édition dans la collection terres d'aventure.
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En 1935, Théodore Monod a 33 ans. Il est père de deux enfants : Béatrice, née en 1931 et Cyrille, né en 1933. Lors de ses expéditions dans le désert, il envoie à sa famille de nombreuses lettres, dont certaines illustrées.
Cette lettre, adressée à sa fille Béatrice, est un très joli conte entièrement illustré par Théodore Monod. Il raconte l'histoire du petit Hachi, jeune chameau de Paris, qui part visiter son cousin en Afrique et découvre ainsi un autre monde, celui des animaux sauvages du désert.
Dans ce texte plein de fraîcheur, on reconnaît Théodore Monod, le naturaliste, qui livre avec une grande simplicité de nombreux détails sur la vie des animaux du désert et laisse transparaître ses convictions humanistes.
Mêlant poésie et précision naturaliste, ce conte séduit par son rythme léger, son ton joyeux et les multiples détails à la fois précis et loufoques que donne l'auteur sur les animaux du désert.
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- 4 "monstres sacrés" en entretiens : le peintre Balthus, l'explorateur Théodore Monod, le prince Sadruddin Aga Khan, le violoniste Yehudi Menuhin.
- Une réédition augmentée d'un petit ouvrage à l'occasion de l'exposition du musée d'Art moderne de la ville de Paris : " Derain, Balthus, Giacometti " (2 juin 2017-29 octobre 2017).
" Deux jeunes cinéastes, Christine et Dominique Bauguil, ont un jour proposé au peintre Balthus de s'entretenir avec trois personnalités de son choix : le professeur Théodore Monod, dont l'humanisme et l'originalité suscitaient chez Balthus - bien qu'il ne l'ait jamais rencontré - une vive curiosité ;... le prince Sadruddin Aga Khan, indéfectible ami, qui pouvait amener l'artiste à s'abandonner en toute sincérité ;... Yehudi Menuhin, l'homme comme le musicien, pour qui Balthus a toujours eu une immense admiration... Je réalise avec tristesse que, pour la première fois dans notre long parcours, sous le signe du livre et de l'amitié, Balthus ne posera pas sur ce " dernier " ouvrage son regard acéré, amusé et affectueux ". Michel Archimbaud Réédition augmentée d'un petit ouvrage à l'occasion de l'exposition du musée d'Art moderne de la ville de Paris : " Derain, Balthus, Giacometti " (2 juin 2017-29 octobre 2017).
Balthus (pseudonyme de Balthasar Klossowski, 1908-2001), peintre figuratif français d'origine polonaise.
Théodore Monod (1902-2000), scientifique naturaliste, explorateur érudit et humaniste français.
Sadruddin Aga Khan (1933-2003), prince, haut commissaire des Nations Unies pour les réfugiés.
Yehudi Menuhin (1916-1999), violoniste et chef d'orchestre américain. -
L'intégrale des récits d'exploration scientifique de Théodore Monod se trouve ici réunie. Les deux premières parties regroupent, dans leur ordre d'écriture, les oeuvres d'inspiration saharienne (textes de Théodore Monod seul, suivis des textes écrits en collaboration). Une place particulière (troisième partie) a été accordée à Plongées profondes, récit d'une expérimentation scientifique sous-marine, qui, par sa nature, méritait d'être distinguée de l'ensemble saharien.
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Dans les nuits de l'Avent de l'an 810, deux formidables drakkars surgissent de la brume. Harald aux dents bleues, à la tête de ses guerriers, son fils Hjalmal et son lieutenant Smirle, le renard des neiges, vont débarquer. A la stupéfaction des habitants de Grand-Couronne, paisible village des bords de la Seine, les Vikings sortent de l'eau la barque à la voilure d'un rouge violent, rouge sang, la Baleine rouge . Loin des thèmes qui le rendront célèbre, mais avec la même fougue, Théodore Monod, le jeune auteur (il a 27 ans en 1929), évoque, dans une mise en scène quasi cinématographique et avec une précision toute scientifique, le courage et les doutes de personnages plus vrais que nature dans une aventure où les coeurs sont tout aussi bouleversés que les moeurs. Un récit haletant et inédit. Par le marteau de Thor, Théodore Monod n'a pas fini de nous étonner
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après soixante-dix ans d'expéditions chamelières, c'est dans la majâbat al-koubrâ, son "désert préféré", que théodore monod avait souhaité accomplir sa dernière méharée (1993-1994).
l'ouvrage que voici en donne le récit, mais il propose également le journal inédit d'une méharée plus ancienne de l'auteur (1954-1955), ainsi que diverses anecdotes scientifiques ou humaines sur le désert des déserts. illustré de croquis et de cartes, ce livre émouvant propose une approche multiple du sahara - grâce au concours de marc de gouvenain - et témoigne de l'irréductible passion de théodore monod pour l'exploration scientifique.
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Le vieil homme et la petite fleur ; Théodore Monod, sa dernière grande aventure
Dauber
- Nevicata
- 1 Novembre 2010
- 9782875230072
Théodore Monod raconte sa dernière grande expédition au coeur du Sahara, à la recherche d'une petite fleur unique au monde.