Filtrer
Support
Éditeurs
- Gallimard (14)
- Editions in8 (4)
- L'Atalante (4)
- Contrebandiers (3)
- Folies D'Encre (3)
- Folio (3)
- Invenit (3)
- Autrement (2)
- Baleine (2)
- Eden (2)
- Editions De La Loupe (2)
- Editions Du 81 (2)
- Estuaire Belgique (2)
- Gallimard Jeunesse (2)
- Jean-Paul Rocher (2)
- Terre De Brume (2)
- Albin Michel (1)
- Az Editions (1)
- BIBLIOCITE (1)
- Belin (1)
- Belin éducation (1)
- Douro (1)
- Editions De Juillet (1)
- Fayard (1)
- Futuropolis (1)
- Goater (1)
- JC Lattès (1)
- Joseph K (1)
- La Branche (1)
- La Grange Bateliere (1)
- Le Bec En L'Air (1)
- Le Robert (1)
- Liber (1)
- Mare Nostrum (1)
- Mille Univers (1)
- Moby Dick (1)
- Points (1)
- Propos 2 (1)
- Ricochet (1)
Langues
Prix
Jean Bernard Pouy
-
Quel dommage que l'un de nos partis politiques n'ait pas choisi, comme appellation, la « Maison Bleue ». On rêve, a posteriori, des effets poétiques et tactiques générés par une telle décision. Et l'on regrette de ne pas avoir vérifié comment les opposants auraient réagi à un tel message. Donc imaginons. Voilà le dernier acte de la furieuse bataille opposant, dans le sang et la fureur, les « Maisons » entre elles. Tout ça sous le regard aigu et araisonnable de ceux qui ne se sentent jamais propriétaires de quoi que ce soit et qui ont choisi de s'opposer à la pensée inique.
-
Étienne, trentenaire parisien célibataire et solitaire, disparaît subitement. Ses parents et sa soeur sont anéantis. Six mois plus tard, personne n'a trouvé la moindre piste criminelle, ni le début d'une explication rationnelle. Comment imaginer que Dogo, comme le surnomme sa soeur, Simone, ait volontairement pris la tangente ? Lassée de se morfondre, Simone décide donc de partir à sa recherche. Mais par où commencer ? Peut-être par ces textes, débuts de romans inachevés, entre pastiche et exercice de style, abandonnés par leur auteur...
-
-
Enric a bien mérité sa préretraite.
Question rapport au monde, il juge qu'il a donné. espagnol, orphelin, enfermé depuis son enfance dans l'enfer bruyant de la surdité, ne parlant plus, à quoi bon, il a refait peu à peu surface au fil des ans, grâce au boulot, que faire d'autre... il peut enfin s'occuper de son jardin, ouvrier bien sûr, et planter amoureusement ses patates, c'est un spécialiste. et voilà qu'on assassine une des rares personnes qui l'acceptait, à demi-mot, tel qu'il était...
Une jeune fille du lycée d'à côté.
Il lui faut alors arrêter l'irrépressible tintamarre qui résonne à l'intérieur de son crâne.
Une sourde vengeance, en quelque sorte.
Prix polar 1989, trophée 813 du meilleur roman 1992, prix paul féval 1996, jean-bernard pouy est un auteur inclassable, inventeur de génie de constructions romanesques rigoureuses, à la fois tendres et féroces, passionnantes et drôles.
-
Figures de proue de la Série Noire et du polar français, graphomanes talentueux, Jean-Bernard Pouy et Marc Villard ont entamé en 2005 un dialogue littéraire qui a donné naissance à plusieurs textes à quatre mains. Avec La mère noire, ils reforment leur duo pour la Série Noire et signent un roman riche des échanges et jeux de langage qui les caractérisent.
-
Camille Destroit, quadra, responsable des achats du rayon frais à l'hyper de Cassel, est interpellé lors de l'évacuation du site de Zavenghem, occupé par des activistes. À sa sortie de GAV, le hangar où il stockait des objets de récup destinés à ses potes zadistes n'est plus qu'un tas de ruines fumantes, son employeur le licencie, sa copine le quitte... et il se fait tabasser par des crânes rasés. Difficile d'avoir pire karma et de ne pas être tenté de se radicaliser ! Heureusement, la jeune Claire est là qui, avec quelques compagnons de lutte, égaye le quotidien de Camille et lui redonne petit à petit l'envie de lutter contre cette famille de potentats locaux, ennemis désignés des zadistes, les Valter.
-
Une brève histoire du roman noir
Jean-Bernard Pouy
- Editions Du 81
- Une Breve Histoire
- 5 Février 2009
- 9782915543254
Loin de tout esprit universitaire, mais proche de la passion folle et de l'amour patient, jean-bernard pouy nous propose ici, à la fois un portrait chronologique et une ode personnelle, voire même partiale ou provocatrice du roman noir et de ses différents acteurs.
-
-
-
-
En 2008, le repas dominical se terminait par un parricide symbolique de l' «exsoissantuitaraatardé» ( Mes soixantes huitres).
En 2018, autour de la blanquette, «ça ne crie plus, ça oublie les noms d'oiseaux, et ça parle encore moins, et ça sent l'huile essen- tielle». Non, ça pianote sur le Smartphone. Mais le soixantehuitard est de moins en moins attardé, il s'est offert un Iphone, a musclé ses pouces, est devenu l'Art Tatum du smartfaune. Alors, par portables interposés, s'engage une conversation qui commence par :
#JeSuisPapa:
Je trouve que la blanquette, maman l'a vraiment réussie. Non?
Macron, lui, adorerait. Et vous ?
Et ceci n'est qu'un début, continuons le repas, les tweets , le combat.
-
Au coeur de la nuit, un wagon se détache d'un train-couchettes et s'arrête soudain. D'abord persuadés qu'il s'agit d'une panne, les occupants découvrent qu'ils sont perdus au milieu de nulle part. Abandonnés, oubliés par les secours, certains partent en éclaireurs et disparaissent. Leurs cadavres sont retrouvés, dans une ville déserte et en ruine. La terreur s'empare alors des survivants...
-
-
-
Lettre de Sergueï Eisenstein à Jean-Luc Godard
Jean-Bernard Pouy
- Folies D'Encre
- 16 Mai 2019
- 9791097567088
Dans une lettre fictive, anachronique et humoristique adressée à J.-L. Godard, le réalisateur russe S. Eisenstein félicite l'implication du cinéaste suisse en mai 1968, ses prises de parole ainsi que ses engagements politiques et cinématographiques. Suivi d'une autre lettre fictive de J. Staline à J. Wayne
-
L'encyclopédie des héros
Jean-Bernard Pouy
- Gallimard Jeunesse
- Albums Documentaires
- 2 Novembre 2012
- 9782070646425
Les héros sont partout. Sur nos écrans, dans les chambres d'enfants ou sur les T-shirts des ados. Mais se souvient-on encore que sans eux, la littérature et le cinéma n'existeraient pas ? Leurs vies sont nourries des thèmes universels qui sont le carburant des meilleures histoires. Nous partageons avec eux nos émotions, mais ils sont plus forts que nous. Surmontant toutes les épreuves, ils comblent notre aspiration à dépasser la condition humaine. Partons ici sur leurs traces et redécouvrons le contexte culturel et historique qui les a vu naître. Pour mieux comprendre ce qu'ils incarnent et pourquoi ils sont immortels.Avec : Gilgamesh, Vénus, Ulysse, Hercule, Antigone, le roi Arthur, fée Mélusine, Robin des Bois, Sinbad le marin, Don Quichotte, d'Artagnan, Zorro, Robinson Crusoé, Blanche Neige, Peter Pan, Superman, Tarzan, Sherlock Holmes, James Bond, Le Père Noël, Bilbo le hobbit - La communauté du Seigneur des Anneaux, Tintin, Harry Potter, Luke Skywalker et Leia, Lieutenant Ripley.
-
Si Pierre de Gondol est le plus petit libraire de Paris, sa connaissance de la littérature tout azimut est considérable.
C'est ainsi qu'un matin, l'un de ses clients, dérouté par la lecture d'un célèbre roman de Jim Thompson, vient lui demander où sont passées les cinq personnes oubliées dans la traduction de ce texte qui, en anglais se nomme Pop 1280 et, en français, 1275 âmes. Pierre va alors se transformer en détective littéraire, pour retrouver dans d'autres livres la trace de ces étranges disparus...
-
La braderie, la brocante, ou le vide grenier, appelez cela comme vous le voulez, est sans doute l'activité du dimanche par excellence. Le narrateur, critique d'art dans un hebdomadaire féminin, s'adonne régulièrement à ce qu'il voit comme un « sport ». Après avoir donné au lecteur de précieux conseils pour dénicher la perle rare et ne pas s'ennuyer dans une braderie, le narrateur nous confie sa passion : dénicher les « excréments de l'art ». Sous ce nom oxymorique se cachent les chefs d'oeuvres insoupçonnés auxquels personne ne prête attention dans les brocantes. Un jour, il se rend en Bretagne et tombe sur un tableau, qui pourrait avoir été peint par Van Hoogstraten, pour la modique somme de vingt euros. Malgré l'incompréhension de son épouse pour ces toiles, celles-ci s'amoncellent dans leur garage.
Un ami restaurateur pense que le tableau pourrait être l'oeuvre de Vermeer et le convainc de faire de plus amples recherches. Le narrateur finit par gratter lui-même la couche de peinture qui permettrait d'aboutir à la réponse définitive. Mais, la surprise est immense quand il découvre un téléphone, la copie conforme du vieux S63 qui trône au beau milieu du garage. Décidé à percer le mystère de ce tableau, le narrateur se rend à nouveau en Bretagne, auprès du vendeur. Il apprend qu'il appartenait à un marquis. Il se rend alors au manoir de celui-ci afin d'en savoir plus. C'est en réalité un ancêtre du manoir, Jégu Maodanez de Kerampuil, qui en est l'auteur, un fou qui se serait jeté de la tour. Le marquis l'invite alors à observer un tableau du même artiste. Il voit cette fois-ci un autobus. En se rendant au musée de Quimper, afin de voir ses autres tableaux, il remarque un hélicoptère. La folie s'emparet- elle de lui, qui entend même le S63 sonner, ou la folie du peintre était-elle en réalité un don de prémonition ? Un jour, il a une révélation : la mort c'est l'art. Mais, il s'interroge encore : quel est le rapport entre l'art, la mort, un S63, un autobus et un hélicoptère ?
-
L'encyclopédie des cancres, des rebelles et autres génies
Anne Blanchard, Serge Bloch, Jean-Bernard Pouy
- Gallimard Jeunesse
- Albums Documentaires
- 31 Août 2006
- 9782070572397
Qui aurait parié sur eux lorsqu'ils étaient jeunes ? Voici une galerie de portraits d'hommes et de femmes, qui ont marqué l'histoire, la littérature, les arts ou les sciences malgré des débuts chaotiques. Avec le temps, l'histoire les a couverts de gloire, en a fait des génies. Ces impressionnantes figures dominent notre culture scolaire comme des statues. Les dictionnaires et les musées nous les présentent le front austère, des qualités plein les poches. Mais les poches ont des trous. Redécouvrons ici ces grands noms autrement. A travers le récit de leur insolente jeunesse...
-
Belles rencontres ; 44 portraits du roman noir
Xavier Hacquard, Vincent Loison
- La Grange Bateliere
- 18 Mars 2021
- 9791097127176
Ils sont deux, comme Laurel et Hardy, ou Lennon/McCartney. Ils sont inséparables et complémentaires : ils mettent ensemble leurs photos en scène, ils ont emprisonné beaucoup d'auteurs derrière des rubans crime scene dans la plus pure tradition du film noir. Mais nul ne sait lequel des deux appuie sur le déclencheur.
Ils écument les festivals de polar comme Bob Dylan écume, avec son Never Ending Tour, les scènes du monde entier. C'est là qu'ils ont rencontré la plupart des auteurs qui sont devenus leurs amis. En souvenir, tous ont accepté avec joie de participer à ce livre et de commenter leur portrait.
Ces portraits croisés offrent un parcours intime à travers le polar francophone des vingt dernières années : depuis les années « punks » - de revendications en désillusions - jusqu'au temps de la reconnaissance et du succès, mais toujours sur le fil du rasoir.
-
Tout commence le jour où les Nouveaux Maîtres du Monde (entendez un Russe, un Américain et un Anglais) rendent visite à Arthur Keelt, célèbre spécialiste du langage qui vit presque en ermite dans les montagnes de Styrie. Les Nouveaux Maîtres du Monde ont certes libéré l'Autriche du diable, mais Keelt se méfie quand ses visiteurs lui annoncent que des extraterrestres ont laissé un étrange message dans le désert de Mojave. Seul un grand linguiste comme lui saura en déchiffrer la teneur exacte. En l'occurrence, le message dit ceci : « Vous êtes décidément trop nuls, néfastes et dangereux. On repart prendre du matériel et on revient vous péter la gueule. » Arrive une cage métallique, dont la nature est inconnue sur Terre. Et dans cette cage est enfermé un merle. Dès lors Arthur n'a d'autre choix que de chercher à comprendre ce que les extraterrestres ont vraiment voulu dire. Espionné par un beau légionnaire amateur de Karl Kraus, visité régulièrement par Greta la postière et Stûrz le paysan, Arthur discute avec le merle et échafaude tranquillement ses théories.
-
D'un côté du mur, la Cité Saint Marc, de l'autre la forêt interdite. Parmi les jeunes des "quartiers" Apollinaire, Rimbaud et Mallarmé, c'est Ali Ghiéry qui est choisi pour remplir LA mission dont dépend la survie du groupe. Guidé par un certain Virgil, il se retrouve plongé dans l'enfer des marques et découvre avec horreur le monde des damnés : les Reboques, les Zadidasses, les Vranglaires, les Maquedos, les Nokias, les Sagèmes et autres malheureux. Ali Ghiéry survivra-t-il à cette traversée ? Et s'il en revient, quel message délivrera-t-il à ses camarades ?
-
Ostende, au bout de l'est
Didier Daeninckx, Marcus Malte, Jean-Hugues Oppel, Jean-Bernard Pouy, Michel Quint, Marc Villard
- Le Bec En L'Air
- Collateral
- 21 Mars 2009
- 9782916073477
Initiateur du projet, le photographe Cyrille Derouineau a déjà collaboré avec des écrivains pour des publications où se croisent littérature et photographie : Corps de Ballet avec Michel Quint (Estuaire, 2006) ou Sur le quai avec Jean-Bernard Pouy (Terre de Brume, 2002).
Sa série de 30 photographies en couleurs, réalisées dans la ville belge d'Ostende, a été proposée à six écrivains français complices de son univers : Didier Daeninckx, Marcus Malte, Marc Villard, Jean-Hugues Oppel, Jean-Bernard Pouy et Michel Quint. Chacun rédige une nouvelle, guidé par les images de cette ville située « au bout de l'Est ».
-
Depuis belle lurette, les livres papiers ont disparu de la surface de la terre.
La Loi Miziaud assimile les chercheurs à des " thésaréactionnaires " sans utilité publique. A Secrisy, les universitaires tiennent colloque et résistent toujours à l'envahisseur. Cette fois encore. le professeur Vladimir Marchet prendra sa place dans le ballet des communications. Sa conférence ? " Les factures EDF et Pierre Boulez. du sérieux au sériel ". Pendant ce temps-là. Liliane profitera du parc ou de la plage, splendides en cette saison.
Mais quelque chose ne tourne pas rond. Contrairement aux usages de la profession, les universitaires s'éclipsent sitôt leur intervention bouclée. Marchet anticipera : " Liliane, fais les valises. on rentre à Paris ".